Statut particulier des enseignants: Gouvernement et enseignants s'expliquent sur la question.
Dernière mise à jours il y'a 1 ansPrincipale revendication des grévistes, le statut particulier des enseignants a été au menu des échanges entre le porte-parole des enseignants du secondaire, Samory Touré Tenkeng, secrétaire général à la communication du Syndicat des enseignants du Cameroun pour l'Afrique (SECA) et le secrétaire général du Premier ministère, Magloire Séraphin Fouda.
Lire aussi : La feuille de route de « Yaoundé pour l'habitat durable » enfin prête !
Un échange de plusieurs heures qui ne semble pas pour le moment apporter un changement à la situation observée depuis la reprise des cours.
En effet, Il n'y aura pas eu de période d'observation cette année, comme ce fut le cas au cours des précédentes. Les enseignants des établissements primaires et ceux du secondaire du Cameroun ont abordé la rentrée scolaire 2023-2024 en mode grève.
Entre absences d'enseignants dans les salles de classes, regroupements sur les campus ou encore une présence dans les salles sans dispenser les cours, l'on est entré dans la phase 2 des mouvements OTS (On a trop supporté) et OTA (On a trop attendu). Deux regroupements nés de la frustration combinée à la misère des enseignants dans ce pays d’Afrique centrale.
Toutefois, tout porte à croire que le gouvernement veut discuter de cette question pendant le Forum national de l’éducation en préparation. Le gouvernement tient à organiser cette grand-messe de l’éducation après les états généraux de 1995. Un comité restreint chargé de finaliser le dossier d'organisation de ce forum, sous la direction de Jacques Fame Ndongo, ministre de l’Enseignement supérieur (Minsup), est à l’œuvre depuis le 11 octobre dernier.
Floyd Miles
Actually, now that I try out the links on my message, above, none of them take me to the secure site. Only my shortcut on my desktop, which I created years ago.