Le 23 août dernier, le ministre de l'éducation de base, Etoundi Ngoa a publié une note dans laquelle il décidait de la fermeture de 494 écoles qualifiées de " clandestines" car ne possédant pas d'autorisation de création et d'ouverture.  A la veille de la rentrée scolaire cette situation pose des difficultés pour les élèves de ces établissements.

Cela dit, cette fermeture concerne les infrastructures scolaires privées laïques des régions du Centre, de l'Est, de l'Adamaoua, du Sud et de l'Ouest. D'après la décision du MINEDUB, il y aurait obligation de se conformer. Par conséquent ne pourront reprendre service, que les établissements ayant satisfait aux conditions établies, soient " après régularisation de leur situation administrative et autorisation du ministre en charge de l’Éducation de base".

De ce fait, par cette note, l'autorité du Gouvernement espère pouvoir compter sur la bonne foi des tenants desdites infrastructures et sensibilise en même temps tous les autres à se procurer une autorisation de création et d'ouverture légalement, afin de ne pas se retrouver dans la même situation que les récalcitrants.