Selon le PDG de technology minerals, « La zone d’intérêt étant située près du gisement latéritique de nickel-cobalt de classe mondiale de Nkamouna, et couvrant environ 2 500 km² dans une zone considérée comme prometteuse pour le nickel et le cobalt, nous sommes impatients de poursuivre les travaux d’exploration afin d’améliorer notre compréhension du potentiel » ; cela démontre le niveau d’excitation et de détermination de cette entreprise qui entend se faire un chiffre d’affaire des plus importants.

Rappelons que Technology Minerals avait conditionné la conclusion du deal par l’approbation de la validité des permis par les autorités camerounaises. Ce qui est désormais fait et ouvre ainsi la voie au lancement des travaux de recherche devant permettre de confirmer l’existence du nickel, du cobalt voire du manganèse sur les sites à explorer. En attendant la confirmation du gouvernement camerounais, il faut noter que la filiale locale de Technology Minerals a déjà mené une évaluation géochimique, un échantillonnage du sol et un échantillonnage litho géochimique.