L’accès aux devises étrangères, l’environnement fiscal et réglementaire et la transparence du marché, la capacité des investisseurs locaux, l’environnement macroéconomique, les normes juridiques et leur force exécutoire, et la profondeur du marché représentent quelques catégories parmi la quarantaine d’indicateurs qui ont été utilisés pour évaluer et classer les marchés financiers africains. En se basant sur celles-ci, L'Afrique du Sud se classe premier parmi les 26 marchés étudiés avec 88 points sur 100. Elle a particulièrement bien performé dans deux catégories d'indicateurs :« profondeur du marché » et « environnement fiscal et réglementaire et transparence du marché » où elle occupe la première place. Dans les autres catégories également, elle est bien classée.

L’ile Maurice occupe la deuxième place avec 76 points devant le Nigeria (69 points). La liste est effective du top 10 est complétée par l'Ouganda (66 points), le Botswana (66), la Namibie (65), le Ghana (65), le Kenya (61), le Maroc (60) et l'Égypte (57). En plus de pays suscités, le continent compte neuf places financières aux performances améliorées. Dans l'ensemble, 19 des 26 pays étudiés affichent des progrès parmi les divers indicateurs ci-dessus cités.

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