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Le fonds pour le développement des exportations en Afrique (FEDA) reçoit de nouveaux membres.

Dernière mise à jours il y'a 2 ans

Après le Zimbabwe récemment, le Kenya, le Congo et le Tchad viennent de signer l’accord d’établissement du Fonds pour le développement des exportations en Afrique (FEDA). Un pas en avant pour ce fonds initié par Afreximbank, qui entend multiplier les ressources pour le déploiement de l’export industriel sur le continent.

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 L'institution, filiale de la Banque africaine d'import-export (Afreximbank), vient d'être ralliée par le Kenya, le Congo Brazzaville et le Tchad, s'inscrivant ainsi au club des pays membres du Fonds, où figurent déjà le Rwanda, le Togo, la Mauritanie, la Guinée, le Soudan du Sud ou le Zimbabwe qui était jusque-là le dernier sur la liste.

En créant le Feda en 2019, devenu opérationnel depuis 2021, Afreximbank avait pour ambition de soutenir le secteur industriel africain pour relever le niveau du continent dans le commerce mondial. Ceci au regard  du déficit de financement estimé à 110 milliards de dollars dans les secteurs porteurs du commerce intra-africain. A ce titre, le Feda a levé en septembre 2022, son premier fonds de 670 millions de dollars (404 milliards de F) pour booster les exportations africaines à valeur ajoutée.

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bernardo carlos ndjomo
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