, le président de la Guinée équatoriale, Teodoro Obiang Nguema, a demandé à ses pairs de « faire un effort et de respecter leurs obligations financières et contributives pour assurer la survie de la Commission du Golfe de Guinée ». Les faiblesses constatées au sein de l'organisation doivent interpeller les dirigeants  à effectuer une analyse détaillée du fonctionnement des comités et à envisager l'idée de restructurer et revitaliser les fondements de l'organisation pour lui donner un nouvel élan. Ayant un PIB de plus de 500 milliards d'euros et comprenant  plusieurs pays africains : Cameroun, Bénin, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, Liberia, Nigeria, Sierra Leone, Togo…Malgré le dynamisme économique et démographique de la région, des défis tels que les impacts du changement climatique, la difficulté d'accès aux services publics et sociaux et l'instabilité politique et sécuritaire entravent le bien-être des populations. A noter que la Commission du Golfe de Guinée est partie d'un traité signé à Libreville, au Gabon le 3 juillet 2001. C'est un accord entre ces États côtiers du golfe de Guinée pour sauvegarder leurs intérêts communs et promouvoir la paix et le développement socio-économique fondés sur le dialogue et des accords fondés sur des liens d'amitié, de solidarité et de fraternité. Il représente un outil institutionnel permanent de collaboration auquel le Cameroun est membre depuis 2008

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